“J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé ma course, j’ai gardé la foi.” (II TIMOTHÉE 4 : 7)”Veni, vidi, vici” (Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu)
“Aux âmes bien nées,…” José Nawej, une grande plume rd-congolaise vient d’être brisée, un Mahatma (Grande Âme) de la presse rd-congolaise vient de s’éteindre… José Nawej est et restera à jamais l’une des figures tutélaire de la presse rd-congolaise, l’une des icônes emblématiques de la corporation journalistiques.
Sa perte, mieux, son départ -puisque, en vérité, nous ne l’avons pas perdu, entendu que le Journaliste, comme l’Artiste, ne meurt jamais-, a laissé un grand vide qui ne sera pas comblé de si tôt, tant au pays qu’à sa famille professionnelle et biologique.
José Nawej est et restera à jamais un modèle pour moi, un maître d’école, un gourou dans profession journalistique. Ses éditos m’ont toujours donné le goût de me former et de me forger comme Éditorialiste.
Le style de son écriture journalistique était on ne peut plus scripturaire, au point qu’il a toujours excité ma passion de scripteur… Plus d’une fois, j’ai l’honneur, le bonheur et le privilège combattre avec lui, mon idole, dans le même plateau de télévision (RTVS1), sur les tribunes du Premier ministre honoraire Adolphe Muzito. C’est là que, pour la première fois, j’ai eu l’occasion de lui révéler, non sans bonheur partagé, qu’il était mon modèle. José Nawej parti, c’est une boussole que je viens de perdre en pleine forêt dense de l’éditorial.
Heureusement que les morts ne sont pas morts, comme l’a si bien dit Diop! José Nawej est vivant parmi les morts. José Nawej vit encore et toujours dans mon cœur. Notamment à travers ses nombreux éditoriaux que je garde encore avec moi.
Bijou NDJODJI BATEKO